Interview bénévole : Frédéric PROERES

Je m'appelle Frédéric Proeres. J'habite et travaille à Pessac comme professeur des écoles. J'ai 47 ans et je suis papa de deux garçons de 10 et 12 ans.

En quoi consiste précisément ton rôle au club?

Je suis un des 4 vice-présidents du club en charge du comité sportif. Mon rôle est de coordonner les actions des commissions sportive, arbitrage, équipement et médicale que ce comité comprend.

Je siège également au bureau directeur et au conseil d'administration du club.

En plus de ce statut de dirigeant, je suis en charge de la catégorie des moins de 9 grands. Pour m'aider à préparer et animer les séances de ce groupe mixte, de jeunes entraîneurs du club (Kalysté, Mathieu, Fanélie, Pierre et Constance) viennent , tour à tour, me donner un coup de main.

Depuis combien de temps es-tu bénévole au sein du club? Et pourquoi avoir choisi le SPUC?

Je suis au Spuc handball depuis plus de 30 ans. On peut donc me caractériser "d'ancien".

Ma vie sociale s'est cantonnée à Pessac. Ayant commencé par jouer, tout d'abord, au basket au Spuc, j'ai ensuite intégré la section sportive handball/athlétisme du collège Noes de Pessac et pris naturellement ma première licence au handball motivé par mon professeur d'EPS, Jean-Jacques Grand et par mon père, Michel Proeres. Tous deux ont été des enseignants et des entraîneurs émérites maintenant à la retraite.

Qu’avez-vous mis en oeuvre ces derniers mois pour garder le lien avec les licencié(e)s?

En cette période de distanciation physique, le mode de communication avec les entraîneurs du club se fait via un groupe de discussion, celle avec les familles de moins de 9 par mail.

J'essaie également d'aller voir les collectifs qui s'entraînent en extérieur quand je le peux.

Qu’est ce qui te plait le plus dans ce rôle de bénévole au club?

Transmettre des savoirs et des valeurs via le handball, mener à bien des projets humains associatifs.

Quel est ton meilleur souvenir au sein du club?

Difficile de retenir qu'un événement après toutes ces années passées au club.

En tant que joueur, peut-être celui où nous avons joué contre la réserve du PSG avec des maillots jaunes achetés à la va-vite dans un magasin de vêtements et affublés de numéros tracés maladroitement au marqueur pour pallier l'oubli des maillots violets.

En tant qu'entraineur, la montée en N2 des SG1 dont je m'occupais après l'épreuve des barrages.