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60 ans - Le dur apprentissage de l’élite...

 SAISON 1981 - 1982 


L’euphorie de la saison précédente aurai pu servir de tremplin au joueurs du SPUC avant d’attaquer leur premier exercice en Nationale 1. Les hommes de Michel Proeres (qui prend la suite de Roger Vincent désireux de prendre un peu de recul), vont connaître un championnat très compliqué !

Le départ de joueurs d’expérience et la quasi indisponibilité de René Vernet (mutation professionnelle), ne vont pas arranger les choses. Les matchs se tiendront à Bellegrave mais également au Palais des Sports de Bordeaux et à la salle Stéhelin de Caudéran. Malgré quelques bons matchs et même des exploits (les plus anciens d’entre vous se souviendront des résultats donnés durant l’émission Stade 2 le dimanche soir et en particulier de la petite étoile apposée à côté du nom de l’équipe visiteuse lors d’une victoire à l’extérieur, en l’occurrence à Metz), ils ne parviendront pas à se sauver dans cette poule très relevée. Mais ce court passage dans l’élite devra servir aux Pessacais pour prétendre y revenir rapidement et s’y installer durablement.
Maigre consolation ils vont remporter leur quatrième Coupe De Zanet de rang !

Les filles vont aussi avoir des difficultés dans leur championnat et même si l’objectif de figurer dans le haut du tableau semblait réalisable, leur quatrième place au final peut nourrir des regrets.

 

Articles de l'époque

 IL RACONTE 

 

"Une anecdote s’est déroulée lors de la saison 1981/1982, peut-être à l’occasion du match face à Metz. Fin d’échauffement et attente électrique dans le couloir des vestiaires pour la présentation des équipes. Yves Réchou, notre gardien de but, ne se sent pas dans le coup et demande à notre capitaine, Jean-Pierre Feuillan, de le gifler pour le réveiller ! En bon capitaine ce dernier s’exécute, d’autant que rien ne pouvait plus l’énerver davantage qu’une baisse (même involontaire) de motivation avant une rencontre. Résultat la petite gifle amicale s’est transformée en une claque monumentale qui fera vivre à Yves son premier K-O debout sans jamais avoir fait de boxe. Quelques minutes de récupération plus tard, Yves, intraitable dans les buts, et toute l’équipe du SPUC allaient emporter une superbe victoire sur le terrain d’un adversaire redoutable. Morale de l’histoire : qui aime bien châtie bien…..Morale de la morale : un gardien « battu » peut devenir « imbattable »  !"

Michel PROERES

 

Les équipes fanions de l'époque

 


 PALMARES 

 

  • Seniors Garçons
    • 8ème de leur poule de Nationale 1
    • Descente en Nationale 2
    • Vainqueur de la coupe De Zanet
  • Seniors Filles
    • 5ème de leur pour de Nationale 2